Alors … Installés confortablement ? Ben oui, forcément pourquoi aller voir ailleurs quand on est si bien là où on est ?

La zone de confort high up me

Intro 

« Salut les audacieux ! Bienvenue dans ce nouveau rendez-vous où on se lance à l’assaut de la zone de confort. Ici, on parle de tout ce qui nous pousse à sortir de nos pantoufles mentales et à embrasser l’inconfort pour grandir. Attachez vos ceintures, car on s’apprête à explorer les territoires inexplorés de l’épanouissement personnel. Prêts à décoller vers l’aventure ? C’est parti ! »

Ben oui, forcément pourquoi aller voir ailleurs quand on est si bien là où on est ? La peur vous me direz ?

La zone chill ou l’île du confort comme je l’appelle, c’est un tas de trucs qu’on fait tout le temps. Ce sont des habitudes qui nous donnent une impression de sécurité, genre nos petits rituels rassurants. Mais en même temps, on reste bloqués dans des façons de penser et des schémas qu’on n’ose pas bousculer. Ces petites manies, qu’elles soient dans nos actions ou dans notre tête, peuvent carrément nous enfermer en nous éloignant d’un monde qui nous semble un peu intimidant.

Peut-être que nos peurs jouent un peu les maîtres-chanteurs dans le quartier du confort. Elles nous font croire que l’inconnu, c’est comme plonger dans une piscine pleine de requins, vous visualiser j’en suis sûre ?

Dans tous les cas, je dis pas qu’il faut forcément larguer notre zone de confort. Juste, prenons un peu de recul, réfléchissons à ce qui serait bien pour nous et pour les autres maintenant et à l’avenir. Ensuite, à notre propre rythme, glissons doucement vers les endroits où on peut apprendre et grandir. Ça risque de secouer un peu, mais c’est la vie, quoi.

Alors on va partir du postulat suivant à savoir qu’il y’a 3 grands axes d’exploration :

  1. Quand la vie nous sort de notre zone cool
  2. Quand on décide d’en sortir volontairement
  3. Quand elle devient une prison invisible

Quand la vie nous sort de notre zone cool

Tu vois, parfois, la vie décide de nous dégager de notre petit confort sans prévenir. Un truc extérieur qui nous tombe dessus, comme un accident, des soucis de santé, ou même une rupture pro ou perso imposée. Ça nous secoue bien, on se retrouve dans une zone où on flippe un peu, puis on enfile notre costume d’apprenti. On a pas choisi ça, on a juste été expulsés.

Là, le but, c’est pas forcément de retourner dare-dare dans notre zone de chill comme un escargot dans sa coquille. On doit plutôt gérer la situation du mieux qu’on peut, passer par les phases de flippe et d’apprentissage, pour arriver au plus vite dans la zone où tout devient grandiose et épanouissant. Une nouvelle vie avec plus de fun s’ouvre à nous…

Quand on décide d’en sortir volontairement

Parfois, c’est juste qu’on en a marre de notre routine, on veut pimenter un peu les choses. On veut relever des défis, casser la monotonie. Rester dans notre zone de confort, ça risquerait de nous priver de plein de trucs cool dans la vie, de nouvelles expériences, de nouveaux apprentissages. Pas de stress dans ce cas-là. Mais faut quand même réfléchir un peu aux risques, pour nous et pour les autres, et ne pas se lancer tête baissée !

Quand elle devient une prison invisible

On reste bien installés dans notre zone douillette à cause de notre routine qui tourne en pilote automatique. On se sent en sécurité, pépouze, sans réaliser qu’à l’extérieur, il y a des changements qui pointent le bout de leur nez. Par exemple, je kiffe à fond mon job sans me rendre compte que la tendance du marché rend les compétences que je maîtrise obsolètes. En restant dans notre petit cocon, on fait un peu l’autruche, tu vois ? On préfère ne pas regarder les défis qui se profilent à l’horizon.

C’est un comportement qui colle pas vraiment à la situation, voire c’est risqué. Jusqu’au jour où, peut-être, le destin nous met une grosse claque et nous expulse de notre île et ben retour à la case départ et on revient alors au cas numéro un.

Comment faire pour sortir de son île du confort comme je l’appelle ?

il y’a 3 axes à prendre en compte à savoir :

1. Affronter la zone des peurs qui nous glacent le dos

Imaginons que vous êtes sur votre île du confort et que vous en connaissez parfaitement tous les recoins. Au nord les habitudes, à l’est vos certitudes, au sud le sentiment de contrôle et à l’ouest le sentiment de sécurité. Mais pourquoi est-ce que je me construirais un radeau de sauvetage pour m’enfuir ? Et puis un radeau de sauvetage de quoi au juste ? Je n’ai pas besoin d’être sauvé moi !

Bon allez … et si, même si je ne vois absolument pas de quoi on parle, je me construisais ce fameux radeau ? Je ne suis pas un expert en construction moi, alors avec mes deux mains gauches vous voulez me dire que je vais réussir à mener à bien ce projet et qu’en plus je vais partir à l’aventure et découvrir d’autres îles où potentiellement je vais apprendre de nouvelles choses et enfin régler mon soucis de régime alimentaire à base d’algues et de fruits de mer ? Ça craint, non ?

Et si j’étais un peu fou du coup ? Je serais éventuellement d’accord de faire un pas en avant dans cette direction et prendre le large mais j’ai quand-même besoin de sécurité moi, ça fair trop peur, je vais me faire bouffer par MobyDick ou le Craken … Non non c’est bon .. Je vais rester bien au chaud et je vais juste continuer à me faire de bons petits plats à base de bigorneaux fourrés aux algues quitte à pas découvrir d’autres plats super intéressants.

Quand on quitte cette zone, c’est souvent le moment où on perd un peu de confiance en soi, voire même d’estime de soi. On devient super réceptifs aux avis des autres, et on trouve facilement des excuses pour se replier sur soi-même, tu vois ce que je veux dire ? le concept des excuses ? Non ???

C’est pour ça qu’on reste bien au chaud dans notre coin connu, là où on pense tout contrôler. On évite l’inconfort momentané de l’inconnu, mais hé, on risque aussi de manquer des trucs cool qui se cachent de l’autre côté de nos frayeurs. En gros, nos peurs deviennent les architectes de notre petit paradis, construisant des murs psychologiques rassurants qui, au final, peuvent freiner notre évolution personnelle. Pas toujours facile, cette affaire de peurs et de confort, hein ?

Mais comment faire la paix avec nos peurs ?

Ok, faire la paix avec nos peurs, c’est un peu comme partir en road trip intérieur super courageux. D’abord, faut les saluer, nos peurs, sans les juger, genre « Salut les gars, on se calme, c’est cool ». Qu’est-ce qui te fait flipper ? Les échecs ? Le jugement des autres ? Les licornes roses qui chantent du death metal à la pleine lune ? (Ok, peut-être pas les licornes, mais tu vois l’idée.) Identifier ses peurs, c’est un peu comme éteindre la lumière pour voir où sont cachés les monstres sous le lit. Puis, petit à petit, faut s’y exposer, histoire de les rendre moins flippantes. Se dire que l’échec, c’est pas la fin du monde, mais plutôt le début d’une nouvelle ère super cool, ça change la donne. En mode self-love, pratiquer la zen attitude et se concentrer sur l’instant présent, c’est aussi un combo gagnant pour calmer les angoisses à venir. En gros, faut y aller doucement, avec une touche de bienveillance envers soi-même. C’est ça, le secret anti-peurs !

Ensuite, c’est le moment de faire un plan. Imagine que tes peurs sont des cartes au trésor qui te guident vers une aventure incroyable. Et la première étape, c’est d’affronter ces peurs une par une. Comme une liste de courses, mais pour conquérir le monde (ou du moins, ta propre vie).

Maintenant, la partie amusante : embrasser l’inconfort. Imagine que tu enfiles une cape de super-héros (peut-être avec des paillettes, soyons fous !) et que tu sautes tête la première dans l’inconnu. C’est là que se trouvent les opportunités, les surprises et, soyons honnêtes, quelques chutes inattendues. Mais c’est ça qui rend l’aventure palpitante !

Alors, que tu aies peur du changement, du ridicule ou même des araignées (qui ne le serait pas ?), tu as tout ce qu’il faut pour les défier et conquérir ce monde fascinant qui t’attend juste au-delà de ton île du confort. Enfile ton gilet de sauvetage, mets ta casquette de commandant, chasse les peurs et fais de chaque journée une aventure dont tu seras le héros.

2. Après les peurs place à l’apprentissage 

Eh bien oui ! Lorsque tu es sur ton île du confort, tu as tendance à éviter les situations stressantes et les défis et je te comprends. En même temps tu n’as peut-être pas encore les outils et les compétences pour l’instant mais il faut te faire confiance. La seule certitude que tu puisses avoir maintenant c’est que demain sera identique à ce jour. Peur de l’échec ? Eh bien l’échec après l’effort n’apporte-t-il pas la noblesse de l’âme ? Les risques et les certitudes sont intimement liés car si tu n’opère aucun changement dès à présent tu risques certainement de stagner dans ta vie et de n’entrevoir finalement que des lendemains sans surprises. 

Qu’as-tu à perdre et que gagneras-tu ? De nouvelles compétences, une plus grande confiance en toi, la découverte de tes forces, des talents bien cachés et ignorés, de nouveaux défis, la joie, le bien-être, la sérénité, la réalisation de tes rêves … Non c’est vrai ça fait beaucoup et pourquoi donc voudrais-tu te sentir mieux finalement ? C’est pas confortable en fin de compte ! Un sentiment de perte de contrôle ? Et si ton île devenait ta prison ? Alors oui, c’est bien confortable de se dire qu’on maitrise sa géographie mais la question à se poser est de savoir ce qu’il se passe au-delà de ces rives. 

Comme disait quelqu’un que vous connaissez tous, « La vérité est ailleurs ! ». Mais comment vais-je m’y prendre tout seul sur mon île pour construire ce radeau bon sang ?

Voici quelques pistes par où commencer :

  1. Quelles sont les nouvelles choses que vous tu as faites ces derniers temps ?
  2. Quelles sont les choses que tu fais par habitude ? Ces choses peuvent aussi être des façons de penser, des croyances, des pensées limitantes, les vacances annuelles, les endroits où aller boire un verre, sur quelle rive vas-tu pour pêcher, etc …
  3. Dresse un état des lieux de tes réponses.
  4. Fais le point sur tes motivations. Demeurer sur ton île du confort n’est pas un problème en soi sauf si ça te fait souffrir et si ça te limite dans le champs des possibles. Donne-toi les moyens de tes ambitions !
  5. Autorise-toi à retourner sur ton île de temps à autres lorsque tu en ressens le besoin.
  6. Revenir sur ton île est aussi important que d’en sortir régulièrement.

Sortir de sa zone de confort, c’est comme le passage obligé pour choper de nouvelles compétences et une expérience qui compte vraiment. À mesure qu’on apprend, on reprend petit à petit le contrôle des situations. On devient des pros pour régler les galères, et le sentiment de bien-être s’installe. La confiance en soi, c’est comme le supers pouvoir de croire qu’on peut tout gérer, et elle grimpe en flèche.

Restez coincé dans cette phase d’apprentissage et vous agrandissez votre zone de confort d’origine, vous catapultant direct vers un niveau encore plus cool : la zone de grandeur.

3. Après l’apprentissage, je grandis

La zone de grandeur, c’est comme le Disneyland de la croissance personnelle. C’est là où on se lance dans des défis qui font kiffer, où on poursuit des rêves qui nous allument vraiment. Là-dedans, notre réalité prend une tournure méga positive. On parle de satisfaction à un niveau supérieur et d’épanouissement qui fait du bien au cœur.

Et le truc génial, c’est que chacun y trouve sa place. On découvre notre propre valeur, ce qui nous rend uniques et précieux. C’est un peu comme si on mettait les morceaux du puzzle de notre vie ensemble, tu vois ? On arrive enfin à être en paix avec nous-mêmes, à aimer la personne qu’on est devenue.

C’est comme si tu gagnais au jackpot de la vie, mais mieux, parce que c’est pas juste une question de chance. C’est le résultat de tout le boulot acharné, des moments où on a décidé de sortir de sa zone de confort, de se défoncer un peu, et au final, ça paie big time. Donc ouais, la zone de grandeur, c’est comme le summum du bonheur et de la réalisation personnelle. Un peu comme si tu te tapais le meilleur rollercoaster de ta vie, mais en mieux, parce que c’est ta propre aventure. 🚀✨

On peut comparer ça à une excursion en montagne. Au début, l’air est frais, l’excitation est palpable, mais au fur et à mesure que l’on s’élève, on réalise que la pente est plus raide que prévu. On se surprend à regarder en arrière, cherchant la sécurité de la vallée familière. Mais hey, c’est là que la magie opère !

La beauté de sortir de sa zone de confort réside dans la découverte de nouvelles perspectives, de compétences insoupçonnées et de rencontres inattendues. On se surprend à apprendre à grimper des collines qu’on pensait infranchissables. C’est un peu comme si on se donnait la permission d’explorer son propre potentiel.

Cependant, il est crucial de se rappeler que la sortie de sa zone de confort n’est pas un aller simple. On peut toujours faire demi-tour et retrouver le confort douillet de son canapé avec une tasse de thé bien chaude. Il n’y a pas de honte à revenir à sa zone de confort si on en ressent le besoin.

Parfois, c’est en revenant à notre point de départ que l’on réalise combien on a grandi et évolué pendant cette escapade. On se rend compte que la zone de confort n’est pas une prison, mais plutôt une base de départ solide d’où l’on peut choisir de partir à l’aventure ou d’y revenir pour se ressourcer.

En fin de compte, c’est cette équilibre entre exploration audacieuse et retour apaisant qui donne à la vie toute sa saveur. Alors, n’hésite pas à t’aventurer hors de ta zone de confort, mais n’oublie jamais que tu peux toujours revenir quand tu en as envie. C’est comme avoir une maison avec une porte toujours ouverte, prête à t’accueillir avec un sourire chaleureux à chaque retour.

Et comme d’habitude … voici quelques points d’exploration avec des suggestions qui raviront les plus braves :

Se challenger pour sortir de sa zone de confort, c’est un super plan pour découvrir de nouvelles dimensions de toi-même. Voici quelques idées pour te lancer dans l’aventure du self-challenge :

1. Fixe des objectifs audacieux : Définis des objectifs qui te font un peu peur, mais qui sont réalisables avec un peu de travail. Qu’il s’agisse de fitness, de carrière, ou de loisirs, vise quelque chose qui te pousse à donner le meilleur de toi-même. A ce sujet je vous invite à écouter nos épisodes 5 et 6 sur les le bilan et les objectifs.

2. Élargis tes horizons professionnels : Prends des responsabilités supplémentaires au travail ou propose-toi pour des projets qui sortent de ta routine habituelle. C’est une excellente façon de développer de nouvelles compétences.

3. Fais quelque chose que tu redoutes : Identifie une activité ou une situation qui te fait peur, et lance-toi. Que ce soit parler en public, prendre l’avion, ou faire du saut à l’élastique, affronter tes peurs est un challenge en soi.

4. Apprends une nouvelle compétence : Choisis quelque chose que tu n’as jamais essayé auparavant. Que ce soit jouer d’un instrument, coder, ou cuisiner des plats exotiques, l’apprentissage constant est un excellent moyen de sortir de sa zone de confort.

5. Change ta routine quotidienne : Romps avec la monotonie en modifiant tes habitudes quotidiennes. Prends un chemin différent pour aller au travail, essaye un nouveau sport, ou commence ta journée par une activité que tu ne fais pas habituellement.

6. Rencontre de nouvelles personnes : Élargis ton cercle social en rencontrant des gens différents de toi. Assistes à des événements sociaux, participe à des meetups ou rejoins des groupes qui partagent tes centres d’intérêt.

7. Voyage en solo : Planifie un voyage seul. L’idée de naviguer dans un endroit inconnu sans le confort de la compagnie familière est un défi en soi, mais c’est aussi une expérience enrichissante.

8. Pratique la vulnérabilité : Exprime tes pensées et sentiments de manière ouverte et honnête, même si cela te rend vulnérable. C’est un moyen puissant de tisser des liens plus profonds avec les autres.

9. Déconnecte-toi des écrans : Déclare une journée sans écrans. Utilise ce temps pour lire un livre, faire de l’exercice, ou simplement profiter du monde qui t’entoure.

10. Participe à des événements sportifs : Inscris-toi à des compétitions sportives locales, que ce soit une course, un tournoi de tennis, ou autre. La compétition peut te pousser à te dépasser.

Rappelle-toi, l’essentiel c’est de choisir des défis qui te poussent légèrement en dehors de ta zone de confort actuelle. Pas besoin de viser l’impossible, mais plutôt de progresser à petits pas. Chaque défi relevé te rendra plus fort et te préparera à affronter de nouveaux horizons avec confiance. Allez, lance-toi dans l’aventure ! 🚀✨

Peu importe ce que tu choisis, l’idée c’est de casser la routine, d’essayer quelque chose de nouveau et de voir jusqu’où tu peux pousser tes limites. Allez, lance-toi ! 🌟🤸‍♂️

Choisis celui qui te semble le plus fun, et lance-toi ! L’important, c’est de s’amuser et de découvrir de nouvelles facettes de soi-même. 🚀✨

Conclusion

En gros, la zone de confort, c’est un peu comme ton vieux pyjama super confortable. Ça fait du bien, mais si tu passes ta vie dedans, tu risques de passer à côté de toutes les fêtes géniales qui se déroulent à l’extérieur. Alors, de temps en temps, quitte ce pyjama, enfile une tenue de super-héros, et va explorer le monde. Ouais, ça peut faire un peu flipper, mais c’est là que se cachent les aventures, les découvertes, et toutes ces choses qui rendent la vie vraiment excitante. Alors, n’aie pas peur de déchirer un peu les coutures de ta zone douillette, et lance-toi dans l’inconnu. Qui sait quelles pépites t’attendent là-bas ? La vie est trop courte pour rester trop longtemps dans la zone de confort, alors autant la transformer en trampoline pour rebondir vers des horizons toujours plus cool. 🚀✨