LES CROYANCES LIMITANTES
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Ah, les croyances limitantes, ces petites pensées négatives qui s’invitent à notre fête sans qu’on les ait réellement conviées. C’est un peu comme si on se retrouvait avec des invités surprise, mais au lieu de cadeaux, ils apportent leur lot d’excuses.
Imaginez-vous coincé dans un labyrinthe de croyances limitantes, à jongler avec des excuses du genre « Je ne peux pas perdre de poids parce que les aliments sains coûtent le PIB d’un petit pays et que le sport nécessite une machine à remonter le temps. »
Maintenant, que faire quand votre cerveau est encombré de ces pensées restrictives ?
- C’est là que la réorganisation est nécessaire, un peu comme jouer à Tetris avec votre emploi du temps.
- Eliminer les dépenses inutiles (parce que qui a vraiment besoin de trois abonnements à des services de streaming ?).
- Adopter des habitudes plus saines, comme manger des légumes au lieu de succomber à la tentation du fast-food.
Et voilà comment ces croyances limitantes peuvent aussi jouer les trouble-fêtes dans nos accomplissements. « Sans diplôme, je suis condamné à une vie de salaire de misère », dit-on. Mais soyons sérieux, c’est comme refuser de danser à une fête parce que vous avez oublié vos chaussures de danse.
Comment sortir de cette spirale infernale ?
- Eh bien, pourquoi ne pas envisager de retourner sur les bancs de l’école ?
- Demander une promotion, trouver une entreprise qui vous paiera enfin ce que vous méritez.
- Lancer votre propre start-up
- Devenir le nouveau ninja des sources de revenu additionnelles ?
Les croyances limitantes sont sournoises, elles se cachent derrière des masques d’excuses, de peurs, et parfois même de perfectionnisme.
Si vous êtes en mode détective, posez-vous ces questions pour démasquer ces saboteurs mentaux :
- Quelles règles est-ce que je suis et limitent mes capacités? Exemple: pour réussir, je dois rester fidèle à mon entreprise jusqu’à la retraite. Qui aurait pensé que réussir implique une monogamie professionnelle ? Peut-être que le secret de la réussite est caché dans la machine à café du bureau, et si nous la quittons, nous perdons automatiquement la clé du succès. Oh, les règles du jeu professionnel, plus étranges que la fiction !
- Quelles pensées négatives récurrentes m’empêchent de réaliser mes rêves? Exemple: Je n’ai pas assez d’argent pour lancer ma propre entreprise. Comme si nos ambitions entrepreneuriales étaient en proie à une pénurie de billets verts ! On dirait que notre cerveau est un banquier grincheux qui refuse de prêter à nos idées brillantes. Peut-être que nos rêves sont en train de faire la queue devant la banque, mais le guichet est toujours fermé. Qui aurait pensé que les rêves ont besoin d’une carte de crédit ? « Désolé, rêve, le paiement est refusé, pas assez de fonds imaginaires ! »
- Quels raisonnements inutiles est-ce que je pratique vis-à-vis de mon engagement envers cet objectif? Exemple: Je n’arriverai jamais à obtenir le financement nécessaire aux frais de démarrage de ma start-up. Comme si le financement était un secret gardé par les licornes dans une caverne mystérieuse. On dirait que mon cerveau a décidé d’organiser une grève de la confiance en soi. « Désolé, chef d’entreprise en herbe, mais le crédit pour le lancement de ta start-up a été refusé par le comité secret des lutins financiers. »
- Les clichés, ces perles de sagesse que l’on balance comme des confettis d’auto-apitoiement ! Voici quelques exemples : « Personne n’est parfait. » Comme si on devait tous concourir pour le titre de « Monsieur ou Madame Impeccable ». Excusez-moi, mais je n’ai pas reçu ma médaille d’or en perfectionnisme à la naissance. « Meilleure chance la prochaine fois! » Oh, super, la vie est-elle un jeu de société où je peux simplement rejouer si je fais un lancer raté ? Quelqu’un a oublié de me donner les règles complètes. « On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a… » Ah, le refrain du « débrouille-toi avec ce que t’as ». Comme si la vie était une recette où je dois jongler avec les ingrédients en espérant que ça ne finisse pas en catastrophe culinaire. « Hey, existence, tu pourrais peut-être livrer un peu plus d’ingrédients de première qualité la prochaine fois ? »
- Ah, les mythes culturels, ces petits farceurs qui prétendent être des experts en recrutement ! Prenez cette pépite par exemple : « Je n’ai pas la bonne [éducation, apparence, expérience] pour réussir à faire ce travail. » Comme si la réussite professionnelle était réservée aux diplômés d’une école de sorcellerie avec une beauté digne d’un défilé de mode et une expérience plus longue que la liste de courses de ma grand-mère. Excusez-moi, mais je n’ai pas vu ces critères sur la description de poste. « Cher employeur, si vous attendez une licorne diplômée avec une expérience de 100 ans, je crains que votre poste reste vacant jusqu’à la fin des temps. »
- Et les normes et autres standards, ces tyrans du « comment-faire ». Est-ce qu’il n’y aurait qu’une seule bonne manière de faire les choses dans ce monde? C’est comme croire qu’il n’y a qu’un seul parfum de crème glacée valable. « Désolé, Monsieur, vous ne pouvez manger que de la vanille, les autres saveurs sont strictement interdites! » Je ne sais pas pour vous, mais je préfère avoir une variété de saveurs dans ma vie, que ce soit dans ma crème glacée ou dans mes méthodes de travail. Vive la diversité des approches, et que le monde soit un buffet à volonté d’idées et d’innovations !
- Parmi mes valeurs, ces petits garnements qui se cachent dans les coins sombres de notre esprit, est-ce que j’en laisse certaines saboter mes rêves? C’est un peu comme si mes valeurs faisaient une soirée pyjama et décidait de faire du tapage pendant que je tente de réaliser mes objectifs. « Oh non, je ne veux pas réussir, je préfère rester fidèle à mes valeurs malicieuses! » C’est peut-être le moment de rappeler à ces coquins qu’il est temps de faire une pause dans leurs farces et de me laisser avancer vers le succès, avec ou sans leur approbation ludique !
- Et les comportements autodestructeurs, ces moments où je me lance dans une danse avec le diable du fast-food après avoir juré fidélité à la salade! C’est un peu comme se dire « non » et ensuite s’envoyer un texto disant « eh bien, peut-être juste une petite morsure » à ma résolution. Et oh, céder aux demandes des enfants après un « non » ferme, c’est comme jouer à cache-cache avec la cohérence. Mes comportements autodestructeurs sont peut-être de petits ninjas malicieux qui veulent rendre ma vie intéressante, mais peut-être, juste peut-être, il est temps de les envoyer en vacances et de faire place à des habitudes plus constructives!
- Les histoires que je me raconte, les petits scénarios mentaux qui jouent dans ma tête comme une comédie dramatique sans fin! C’est un peu comme un film où le personnage principal, moi, se met en mode « Je ne pourrai jamais faire ça parce que… » C’est un genre de thriller psychologique, avec des rebondissements émotionnels et des dialogues internes dignes d’un Oscar. Peut-être qu’il est temps de réécrire ce script, de donner à mon personnage une meilleure ligne de dialogue comme « Bien sûr que je peux le faire, je suis une superstar en devenir! »
- Ah, les philosophies qui me font faire du surplace, celles qui m’ont convaincu que chaque erreur était une étape directe vers le grand fiasco! Penser que faire des erreurs, c’est comme se lancer dans une course vers l’échec total, c’est un peu comme croire que chaque fois que je trébuche, c’est un pas de plus vers la catastrophe. Peut-être que je devrais adopter une nouvelle philosophie, quelque chose comme « Les erreurs sont les billets d’entrée pour le spectacle de la vie, et je suis prêt pour le premier rang! »
Si vous repérez des croyances limitantes, isolez celle qui semble camper joyeusement sur la voie royale de votre réussite. Allons-y, mettons cette croyance sous le microscope avec l’exercice ci-dessous, et découvrons si elle a apporté son pique-nique ou si elle est prête à partir en vacances!
Exercice: Dissection d’une croyance limitante
- Identifiez l’étoile de votre spectacle, la croyance qui pense avoir un abonnement VIP pour bloquer votre chemin vers le succès. Maintenant, faisons-la se déguiser et jouons à cache-cache avec elle grâce à cet exercice délicieusement introspectif.
- Choisissez une croyance qui joue les vedettes, par exemple, « Je suis fauché. » Pourquoi cette superstar occupe-t-elle la scène? Des raisons comme « Mon salaire est un peu en mode spa, relaxant trop longtemps » peuvent faire leur entrée en piste.
- Rebondissez en fournissant des preuves que cette diva de croyance ne sait peut-être pas chanter juste. Par exemple, vos besoins fondamentaux de survie sont au rendez-vous – miam, abris, vêtements!
- Maintenant, dévoilez comment cette croyance vous fait louper le bal de la vie. « Pas assez d’argent pour des vacances? » Oh non, cette croyance pense que les palmiers sont hors de portée.
- Explorez vos sentiments sur ces rendez-vous manqués. Souvent, c’est comme manquer une pizza gratuite. Faites particulièrement attention à ce que vous ressentez par rapport à ce que vous pensez que votre vie devrait être, et les manières dont cette croyance vous a empêché d’en profiter pleinement. Écrivez ces sentiments.
- Imaginez une vie sans cette croyance. Si elle disparaissait, ce serait comme un feu d’artifice de possibilités! Quels objectifs choisiriez-vous? Plus de vacances, peut-être une île privée pour les week-ends?
- Maintenant, question essentielle: cette croyance est-elle une rockstar de la vérité ou juste une diva des excuses? Exemple classique: « Pas de vacances cette année, le portefeuille fait grise mine. » Mais est-ce que votre budget a vraiment fait une grève de la faim ou juste une petite pause spa?
- Alors, imaginons que votre budget soit un terrain de jeu, et la croyance limitante est une piñata prête à éclater! Plutôt que de jouer au jeu du « Suis-je fauché? », envisageons une partie de Monopoly grandeur nature, où chaque coin de rue peut devenir une opportunité financière. Et si, au lieu de dîners au restaurant, vous organisiez des pique-niques gastronomiques dans votre salon? Non seulement c’est économique, mais vous pouvez aussi porter votre plus belle tenue pyjama! Ouvrir un compte épargne dédié aux vacances? C’est comme créer un compte secret dans le monde magique de Gringotts pour vos escapades moldues! Et la mauvaise habitude coûteuse? Pensez à elle comme à une vieille chaussette trouée. Vous avez peut-être du mal à vous en séparer, mais une fois que c’est fait, vous vous demanderez pourquoi diable vous l’avez gardée aussi longtemps! Les vacances coûteuses, c’est bien, mais les alternatives économiques, c’est comme trouver un trésor caché dans votre jardin! Camping, randonnée, visites à des amis… qui aurait pensé que le bonheur pouvait être aussi abordable ?Alors, plutôt que de voir votre compte en banque comme une voie sans issue, imaginez-le comme une autoroute vers la liberté financière! Et n’oubliez pas, dans ce grand spectacle de la vie, vous êtes la star !
- Quelles conséquences redoutez-vous liées à cette croyance limitante? Quelle est la situation la plus redoutable si aucune action n’est entreprise? Par exemple : Je flippe à l’idée de me retrouver en mode stressé et déprimé, comme si je participais involontairement à un concours de gloom-lympiques.
- Quelles sont les probabilités de voir le scénario catastrophe se matérialiser? Laissez tomber cette croyance limitante et mettez-vous en action. D’après vos réponses à la question 8, c’est aussi probable que de trouver un pingouin en plein désert (c’est-à-dire pas très probable du tout).
- Êtes-vous prêt à faire des galipettes avec la peur et à danser le doute, mais à agir quand même? Toute transformation comporte des risques, même si vous avez fait des calculs dignes d’un mathématicien fou. Il faut oser pour passer du stade de la cacahuète au chef-d’œuvre. Alors, enfilez votre costume de super-héros de l’incertitude et battez-vous pour une vie meilleure!
- Comment cette croyance limitante jongle-t-elle avec vos relations? Souvent, on joue au Mikado avec nos liens quand on reste coincé dans des idées farfelues. Avez-vous remarqué comment cela fait des claquettes sur vos relations familiales? C’est comme si une partie du temps que vous pourriez passer à resserrer les liens familiaux était transformée en une danse frénétique de frustrations inutiles. Pas vraiment le slow romantique que vous aviez en tête, non?
- Prenez un instant pour consigner cette croyance limitante sur un bout de papier, puis emballez-la soigneusement dans une enveloppe scellée. Reléguez cette croyance au placard pendant une semaine. À votre retour, attribuez-lui une note entre 1 et 10, 10 signifiant qu’elle est aussi envahissante qu’un voisin trop curieux, et 1 indiquant qu’elle est aussi inoffensive qu’un chaton endormi.
- Quel objectif brille comme une étoile rockstar parmi vos réponses à la question 6? Parmi toutes ces pépites d’ambition laissées en plan à cause de votre croyance limitante, lequel fait le moonwalk de la motivation dans votre esprit?
- Trouvez 3 à 5 mini-exploits réalisables pour ridiculiser cette croyance en lui offrant des vacances bien méritées ! En mode super-héros anti-croyance, définissez quelques actions que vous promettez d’accomplir pour botter les fesses de votre objectif, et n’oubliez pas de les inscrire dans votre calendrier super secret.
Une fois que vous avez débusqué les gardiens du pessimisme, vous êtes prêt à créer un tout nouveau régime de croyances pour faire de l’ombre à vos pensées d’un autre millénaire. La mission (si vous l’acceptez, et vous le devriez) : réaliser que vous menez un monologue intérieur plus sombre qu’une comédie romantique sous la pluie, ou des comportements autodestructeurs dignes d’un ninja de la négativité, et ensuite jongler avec la manière dont vous discutez avec le maestro en vous-même. Plongez-vous dans de nouveaux scénarios qui répandent des vibes plus positives qu’un concert de morcheeba.
Les erreurs sont comme des confettis parsemant la route vers la sagesse. Mes choix sont les billets gagnants de la loterie du succès. Je suis plus énergique que mon cactus de bureau, et tout est aussi possible que des pingouins faisant du patin à roulettes.
Maintenant que vous avez mis votre croyance limitante dans une enveloppe scellée comme un trésor bien gardé, profitez de cette aubaine pour devenir le super-héros de l’action. Jurez solennellement d’agir avant les dates limites que vous avez concoctées, répétant ces mantras mentaux positifs comme un DJ avec les platines de la pensée.
Et surtout, n’oubliez pas le petit détail croustillant : partagez ces croyances (les anciennes et les toutes nouvelles) avec votre complice de responsabilité, celui qui vous maintiendra sur la piste pendant que vous jonglez avec vos pensées et comportements dignes d’une sitcom des années 90, en les transformant en un show à grand spectacle de possibilités qui rivalisent avec un buffet de glace à volonté, avec une touche de licorne.